Auto-Biographie de Sameh Jouida
Je m’appelle Sameh Jouida. En 2015, j’ai soutenu une thèse de Doctorat en Sciences de Gestion discipline Finance (l’Institut Supérieur de Gestion Université de Sousse). Ma thèse de doctorat s’intitule l’«Impact de la diversification géographique et des activités sur la performance et sur la structure du capital : Cas des Institutions Financières Françaises».
L’axe de recherche auquel je me suis intéressée englobe conjointement la finance de l’entreprise et le management stratégique dans le cadre du secteur financier. Ainsi, l’objectif de mes recherches est le renouvellement du cadre d’analyse pour le secteur financier. J’ai traité les problèmes méthodologiques d’endogéniété, les problèmes de la complémentarité des stratégies de la diversification et leur interaction ainsi que les problèmes de la simultanéité. Par ailleurs, j’ai utilisé des données de panel et j’ai opté pour des modèles dynamiques pour remédier à ces problèmes. J’ai passé par des moments difficiles lors de la préparation de ma thèse notamment, les problèmes liés à la collecte des données et les problèmes de la disponibilité des références bibliographiques.
Je suis membre au laboratoire de recherche « Business et Economic Statistics Modeling » (BESTMOD) à l’Institut Supérieur de Gestion de Tunis. Ainsi, le choix de la recherche demeure un plaisir ainsi, j’ai élaboré des travaux de recherche dédiés à la publication dans des revues internationales classées CNRS. J’ai aussi participé à des conférences internationales et j’ai des communications acceptées et présentées dans le cadre des conférences internationales et nationales.
J’ai commencé à assurer en tant qu’enseignante vacataire des Travaux Dirigés en comptabilité financière au sein de la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion de Sousse.
Lire ici quelques publications
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Léda Mansour (30 septembre 2017). Sameh Jouida. Orients Occidents مشارق ومغارب. Consulté le 18 mai 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/skt2